Instauré en 1889 comme journée internationale de lutte pour les droits des travailleurs, le 1er mai est né de combats essentiels, notamment celui pour la limitation de la journée de travail à huit heures. Cette date historique n'est pas une fête anodine; elle est l'expression des luttes passées, présentes et à venir. Cette journée doit rester un temps de mobilisation, de revendication et de mémoire. 

Le 1er mai n'est pas a vendre. Il appartient aux salariés, il doit rester chômé et payé.

 

Mobilisation le 1er mai à 14h Place d'Italie pour porter nos revendications pour l'amélioration des conditions des travailleurs. 

Lire la suite de 1er mai en avant les revendications !

La comparaison de l’évolution de la rémunération des salariés titulaires de mandats doit être effectuée annuellement et non pas à l’issue des mandats.

La Confédération Force Ouvrière apporte tout son soutien à la mobilisation des agriculteurs contre les politiques agricoles nationales et européennes qui créent les conditions d’une concurrence déloyale.

FO rappelle que les salariés agricoles, et plus généralement l’ensemble des travailleurs, subissent de plein fouet à la fois l’inflation et la crise traversée par le monde agricole qui pèse sur la politique sociale du secteur. Les travailleurs agricoles ne vivent plus de leur travail, alors qu’ils nourrissent la population.

FO interviendra dans l’ensemble des instances et auprès des pouvoirs publics pour que le gouvernement trouve enfin une solution pérenne et équitable à cette crise. A l’image de l’exigence de souveraineté industrielle, la souveraineté alimentaire doit devenir un enjeu prioritaire pour la relance de la production en France.

FO revendique l’amélioration de la rémunération et des conditions de travail des salariés et des agriculteurs.

FO adresse ses condoléances à la famille et aux proches de l’éleveuse et de sa fille décédées sur un barrage routier en Ariège. FO agit et agira sans relâche pour la défense du droit constitutionnel de manifester. Mourir pour réclamer le droit à vivre dignement est intolérable.

 

Frédéric Souillot Secrétaire général de Force Ouvrière